D'une part, il doit se pencher sur le niveau du rendement. Nous sommes une des meilleurs équipe de notre conférence. La plus chaude lutte pour un titre de division, la notre ( Fifi, la soeur de Donald Duck et mes Seigneurs. Notre Power Play est de loin la plus constante de la ligue. Malgré notre indiscipline, nous sommes heureux de pouvoir rivalisé avec notre PK en tenant compte que se sont nos joueurs de 3e et 4e trio qui tue ce temps.
D'autre part, il doit se pencher sur le niveau de motivation de ses joueurs. Le sommeil de Semin nous cause probleme. The Alex Lander performe bien mais devra haussé leur jeux d'un niveau pour nous assuré une première eclatante ( ex: 6 a 1... ). Ovechkin ne peu pas tout faire, ses compagnons devront performer. Mathieu Garon se traine les pieds depuis le tout debut. Parrish n'est pas a la hauteur de son talent. Langenbrunner est un veteran qui devra grandir dans son role de leader silencieux. On se pose des question car les Stoll Nolan et Clark performent bien sur les trio de bas niveau. Mike Green nous surprend, il est l'un des succès du club en se debut de saison.
Nous ne voulons pas démoraliser la troupe alors, j'ai enlevé 17 paragraphes qui ciblaient les joueurs visés. Il va sans dire que les deux aspects sont étroitement liés, un Dg motivé étant bien souvent un Dg motivant. Pour autant, un Dg motivé n'est pas systématiquement motivant pour ses joueurs, à moins de savoir agir sur quelques leviers.
Le Dg doit savoir communiquer avec son coach. Sans communication ''fictive'', difficile d'entretenir le niveau d'implication de l'équipe, à moins de s'appuyer sur le levier hasardeux de la ''crainte'' ou de la ''chance''.
Cette communication doit se faire à trois niveaux : au quotidien (au travers des échanges opérationnels), La venu de Gonchar et Kuba. A moyen terme (par exemple sur l'organisation et les priorités à venir du service), Ceux qui sont payé plus que 4 millions doivent etre a la hauteur des attentent. Et à long terme (sur la stratégie globale de l'organisation).
On notera que par principe cette culture de la communication doit être descendante (voie hiérarchique) mais aussi montante, afin de permettre aux joueurs de s'exprimer. Dans cette logique, tous les canaux de communication peuvent être explorés : réunion, lettre d'information, intranet, entretien individuel, conversation informelle. Ou ma meilleur, sous la pression d'un gun dans la bouche.
Tous les spécialistes s'accordent sur ce constat ( PP,PK et 4 vs 4 ). Pour que vos joueurs s'épanouissent, donc cultivent un degré de motivation élevé, il leur faut disposer de leur propre espace d'action, pour lequel ils savent qu'ils bénéficient de votre confiance. Cette confiance s'exprime généralement par un management sous forme d'objectifs. Ce qui est loin d'être celle souhaité en ce début de saison mentionne mon patron ( plutot en gueulant derrière moi ).
Vos joueurs doivent connaître clairement les missions qui leur incombent et les objectifs qui y sont associés. Sauf problème avéré, le Dg veillera à n'intervenir dans les missions de ses collaborateurs que lors des "points de contrôle" prédéterminés dans le ''planning''. La confiance se gagne également sur le terrain qu'en dehor. En faisant confiance à votre équipe, vous avez toutes les chances que votre équipe vous respecte et performe. Un cercle vertueux en matière de motivation.
Si le Dg par objectifs permet à chaque salarié de mieux identifier sa tâche et son rôle, ce dernier par la responsabilisation permet d'offrir à vos joueurs une capacité de décision dans un champ d'action précis. De facto, cette capacité de décision offre à l'équipe des raisons supplémentaires de satisfaction si les objectifs sont atteints. Cette stratégie passe évidemment par la délégation, une façon de transmettre au passage sa propre motivation. Au-delà de l'implication, on se rappellera que la responsabilisation agit sur plusieurs facteurs essentiels :
-la capacité d'innovation ( en incitant les joueurs à mettre en oeuvre leurs talents précis ),
-le degré de formation de l'équipe ( en permettant aux joueurs d'étendre leurs compétences ),
-la capacité à gérer les situations délicates ( en habituant les joueurs à être autonomes).
Rien de mieux qu'un travail routinier pour saper, game après game, le niveau de motivation d'une équipe. Tel un chef d'orchestre, le Dg doit savoir transmettre des impulsions à son coach pour a ses joueurs, en lançant de temps en temps des projets novateurs ( gagner 6 a 1 par exemple ) ou des "projets défis" ( gagner 6 a 1 par exemple ). Ces impulsions permettent de galvaniser les troupes, à condition que la réussite des projets soit clairement associée à une récompense ( Le titre de Division, Conference et la Godhl coupe ).
Attention toutefois à ne pas tomber dans l'excès, en enchaînant défi sur défi. Une telle stratégie risque de décupler au-delà du raisonnable l'esprit de compétition entre les joueurs. Autre danger : -les joueurs ne s'intéressent plus qu'aux "projets défis" ( leur defi personnel ) et à la gestion des urgences, en laissant de côté les tâches moin le ''fun'' a complèter.
Il va s'en dire que la motivation est étroitement liée à l'environnement dans lequel vos collaborateurs évoluent. Le Dg devra donc être attentif à l'ambiance de son équipe ou de son potentiel, en apprenant à connaître chaque salarié et en agissant sur les problèmes capables de perturber leur niveau de motivation ou de performation sur glace. Cette logique implique, bien entendu, le fait d'organiser régulièrement des activités hors contexte ( Buveries, séminaires, copulation intime et avoir accès a leurs familles légitimes ). L'ambiance repose également sur l'image qu'ont les joueurs de leur Dg. A ce titre, la loyauté est l'une des qualités les plus déterminantes.
On ne trouve pas de colombe dans un nid de corbeaux.
Faute de pain, on mange de la galette.
Tout arrive plus vite à qui court après.
Avant d'être capitaine il faut être matelot.
Ce qu'on laisse sur la table fait plus de bien que ce qu'on y prend.
On ne peut pas empêcher un coeur d'aimer.
On ne peut pas tous être beaux et savoir téléphoner.
S'il y avait seulement des scies, il n'y aurait plus de poteaux.
On ne peut pas manger des fraises à l'année.
Celui qui jette son pain en riant le ramasse plus tard en pleurant.
Secrétaire du Dg Zundone des Capitals de Washington.